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| Running away is not a solution. We must learn to impose. | |
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B. Kriss Cowels Albert Einstein
❝ L'imagination est plus
importante que le savoir. ❞ Σ Crédit : Golden Haze (moi) Σ Avatar : Ashlyn Pearce Σ Hurleurs : 294 Σ Ici depuis le : 26/06/2012 Σ Je peux : Rendre réel ce que j'imagine Σ Âge : 22 ans Σ Disponibilité RP : Disponible
| Sujet: Running away is not a solution. We must learn to impose. Dim 22 Juil - 4:39 | |
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Blue Kriss Cowels Too high to care about bullshit ! | IDENTITE Ma famille se trouve à être une très vieille famille anglaise. Vous savez le genre de famille super guindée, super riche, qui connait tout le monde dans ce foutu pays et qui croie surtout que tout leur est du. Habituellement, les nouveaux-nés se retrouvent avec des noms de merde super vieux en l'honneur de leur ancêtre, mais j'ai eu de la chance en évitant cette tradition merdique. À la place, ma mère a décidée de me nommer Blue Kriss Cowels. Je suis née dans un hôpital de LittleHampton, il y a de cela 22 ans, le 24 février 1990. Pendant toutes ces années, j'ai vécu dans la petite ville de LittleHampton, j'ai côtoyé bon nombre de personne, mais je ne me suis jamais vraiment mis en relation sérieuse avec un mec, parce que je leur fais pas confiance, ni avec une nana, parce qu'elles ne m'attirent tout simplement pas.
Depuis que l'orage est passé, je réussi à rendre réel ce que j'imagine. Génial, non ? Oui, bon, j'ai des petites limites, j'ai beau imaginer mon père mort, il est toujours en vie, ou si c'est juste trop gros, je finis par m'écrouler sur le sol. J'ai pas tout de suite sue ce que j'étais capable de faire, mais après une semaine ou deux, j'ai finis par comprendre ce qui se passait et par savoir.. Golden Haze Roxanne, Golden Haze ou l'orignal du forum, ça dépends des points de vue. Quand je dis que je suis l'orignal, c'est parce que je suis Québécoise, donc bon.. Je suis âgée de 19 ans, j'ai l'intention de venir tous les jours sur ce forum parce qu'il est le mien et que j'ai rien d'autre à faire de ma vie en tant qu'étudiante en vacances. Si vous voulez me voir, vous pourrez me trouver sur la CB ou encore dans le flood ! (: code pour le bottin - Code:
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<pr>Ashlyn Pearce</pr> B. Kriss Cowels |
LE CARACTÈRE Kriss est comme qui dirait deux personnes totalement différentes ; il y a celle que l'école et les amis de la famille connaissent et il y a celle que ses amies et sa famille connaissent. Dans le premier cas, c'est ce qu'elle montre, ce qu'elle désire montrer. C'est à dire une demoiselle souriante, rieuse, sociable, quelque peu timide quand elle ne connait personne et qui s'efface dès qu'elle ne se sent pas à sa place, qui est autant accroc à la mode qu'à la caféine et qu'à son téléphone cellulaire à cause de tweeter et de facebook. Dans le second cas, c'est la vraie Kriss que l'on peut apercevoir. Soit une fêtarde, qui boit comme une alcoolo dans les partys et qui prends de la drogue pendant ceux-ci, une fille impulsive, qui agit généralement sur un coup de tête, qui se lève toujours tard, qui est aussi toujours en retard et qui sans son jogging matinal, n'aura pas une très belle journée.
Dernière édition par B. Kriss Cowels le Lun 23 Juil - 20:49, édité 3 fois |
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B. Kriss Cowels Albert Einstein
❝ L'imagination est plus
importante que le savoir. ❞ Σ Crédit : Golden Haze (moi) Σ Avatar : Ashlyn Pearce Σ Hurleurs : 294 Σ Ici depuis le : 26/06/2012 Σ Je peux : Rendre réel ce que j'imagine Σ Âge : 22 ans Σ Disponibilité RP : Disponible
| Sujet: Re: Running away is not a solution. We must learn to impose. Dim 22 Juil - 4:39 | |
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Ma vengeance est perdue s’il ignore en mourant que c’est moi qui le tue. Dormir, voilà tout ce que la rouquine sait faire de ses journées, car la nuit elle sort, boit comme une alcoolo, se drogue et danse au son de la musique. Sa famille voudrait bien qu’elle fasse autre chose pendant son année sabbatique, mais malheureusement pour eux, elle n’écoute personne, fait à sa tête et se contre balance totalement de l’avis des gens. Sa famille voudrait bien des choses, mais il s’avère qu’elle ne veut pas les mêmes choses. En parlant de vouloir, la jeune Cowels voudrait bien dormir en ce moment, mais il s’avère que personne ne répond à ce foutu téléphone. C’est plutôt étrange puisqu’ici il y a toujours quelqu’un pour répondre. Elle se lève alors rapidement de son lit, attrape sa robe de chambre en soie qui est accroché à la porte et s’en vêtit tout en attrapant le combiné.
« Oui, allô ? » Sa voix est encore enrouée à cause de l’alcool et la drogue qu’elle a prise pendant la nuit, elle s’éclaircit la gorge tout en attendant la réponse de la personne qui appelle.
« Kriss ? Est-ce que c’est toi ? » La voix … Cette voix, elle la connaissait bien. Elle l’avait terrorisée pendant des années. Cela devait bien faire, quoi, quatorze ans qu’elle n’avait pas entendu cette voix et maintenant, elle allait revenir la hanter pendant un bon moment.
« Oui, c’est bien moi. Qu’est-ce que vous me voulez ? » À ce moment même, elle n’avait qu’une seule et unique envie, celle de raccrocher et de retourner ce coucher, mais elle ne pouvait pas. Elle ne voulait pas qu’il croit qu’il ait gagné, qu’il l’ait traumatisé à vie. Elle prit une grande inspiration, tout en éloignant le combiné de sa bouche afin qu’il ne sache pas qu’elle attrape au vol toutes les petites parties de son courage.
« Je.. Je désirais simplement te parler.. » QUOI ?! C’est après toutes ses années qu’il désire lui parler ? Ça lui a pris quatorze années pour simplement lui parler. La petite tête brune ne veut aucunement lui parler, mais bon, peut-être qu’il a un truc d’important à lui dire, sait-on jamais.
« Me parler de quoi au juste ? » La demoiselle essaie de ne pas s’énerver malgré le fait qu’elle soit plutôt impulsive. Elle respire le plus calmement possible et serre sa main de libre afin de ne pas se mettre à crier contre cet homme qui a totalement gâché sa vie. Elle s’appuie alors le dos contre le mur juste derrière elle, car elle a toujours l’impression que quelqu’un pourrait l’attraper par derrière et essayer de la tuer, mais ce n’est qu’une simple impression.
« En fait, je voudrais te le dire en face.. Si tu pouvais venir me voir, ce serait bien.. » Elle serre encore plus son poing. Elle a l’impression que si elle l’avait devait elle en ce moment, elle lui sauterait à la gorge et l’étoufferait. Qui plus est, elle ne comprend pas pourquoi est-ce qu’il lui demande d’aller le voir, elle le déteste et il le sait très bien. Alors pourquoi ? Ohh, certainement parce qu’il est stupide et qu’il vit dans le monde des bisounours.
« Tu sais quoi ? Va te faire foutre ! » Elle ne savait pas quoi répondre d’autre et honnêtement, cela devait bien faire des années qu’elle rêvait de le lui dire. Elle se sentait beaucoup mieux maintenant qu’elle avait dit ce qu’elle voulait lui dire, même si ce n’était qu’une toute petite partie de ce qu’elle avait réellement en tête. Dans son élan, elle raccrocha. Elle se foutait bien du fait que c’était impoli, mais elle n’avait aucune envie de lui parler encore plus longtemps. Elle reposa le combiné de téléphone sur sa base et retourna dans sa chambre toujours aussi frustré de ce qu’il avait osé lui demander.
La sonnerie du téléphone se fit de nouveau entendre dans la maison plus que centenaire de la famille Cowels, mais cette fois-ci Kriss ne fut pas obligé de répondre, car sa grand-mère le fit. Elle devait être entrée quelques minutes avant, pendant que la rouquine était encore au téléphone avec cet enfoiré. Elle n’entendit que sa grand-mère répondre, le reste était en fait totalement incompréhensible et elle se doutait bien que celle qui l’a élevé faisait en sorte que rien ne soit compréhensible.
tu ne tomberas pas plus bas Elle aurait bien voulu faire autrement, mais s’en était impossible. Sa grand-mère ne lui avait pas laissé le choix. De plus, elle lui avait dit que ça ne pourrait que lui faire du bien, à tourner définitivement la page, à l’oublier totalement. Le problème, c’est que Kriss ne croyait aucunement en ce type de « cure miracle » qui allait l’aider comme par magie à passer par-dessus une telle épreuve, mais elle allait le faire pour sa grand-mère. Elle ne voulait pas lui briser le cœur, elle décida donc d’y aller.
Kriss passa devant un détecteur de métaux, dû subir une fouille au corps et l’interrogation rapide d’un agent de sécurité. Oui, bon, elle s’y attendait bien, mais elle ne se doutait aucunement que ça allait être aussi long et pénible. Il la dirigea vers la pièce de discussion, celle-ci était remplie de chaises qui se trouvaient toutes devant des glaces. On l’invita ensuite à prendre place sur l’une d’elles et lorsqu’elle le fit, elle le vit. Cet homme qui avait totalement gâché sa vie et qui lui avait donné des centaines de millier de cauchemars. Elle prit à contrecœur le téléphone qui se trouvait à côté d’elle, mais elle attendit qu’il prononce les premières paroles.
« Je suis tellement content que tu sois là.. » On pouvait percevoir un petit soulagement dans sa voix. Il esquissa même un petit sourire en coin, comme si tout cela pouvait arranger les choses. Seulement, il n’obtenu certainement pas la réponse qu’il désirait.
« Moi pas. Alors venons-en au fait. Qu’est-ce que tu veux de moi ? » Sa voix était fracassante, remplie de haine et de colère, mais elle ne criait pas. Elle ne voulait pas lui donner cette satisfaction, lui donner l’impression qu’il avait une emprise sur elle.
« Je voulais savoir comme Grayson et toi alliez.. » Il donnait véritablement l’impression de vouloir savoir ce qui se passait dans sa vie, mais Kriss n’avait aucunement l’intention de se laisser amoindrir par son jeu d’acteur, car il devait bien être un bon menteur pour avoir réussi à courtiser sa mère.
« T’es au courant de rien alors … Grayson s’est enrôlé dans l’armée quand il a eu 18 ans et il est mort il y a trois ans. Sinon, moi ça va. » Elle lui annonça la mort de son fils, de son frère, comme si de rien était. Elle voulait réussir à le blesser et elle obtient ce qu’elle voulait car il se mit à pleurer devant elle. Elle le regarda alors d’un œil glacial et un visage sans expression autre que la haine qu’elle éprouvait pour lui. « Maintenant, tu comprends peut-être la peine que j’ai eu quand tu m’as enlevé ma mère. » Sa voix était emplie de haine, d’une haine totalement justifié envers cet homme qui se disait être son père.
« Je sais… je voulais m’excuser aussi, pour ce que je t’ai fait, pour ce que je vous ai fait à tous.. » Il continuait de pleurer à cause de l’annonce que Kriss venait de lui faire, mais celle-ci n’afficha pas plus une émotion sur son visage.
« Tu crois réellement que tes excuses peuvent réparer les choses ? Tu crois que tes excuses peuvent me la ramener en vie ? Tu crois vraiment que tes excuses vont changer quelque chose dans ma vie ? Et puis, tu ne crois quand même pas que je les accepte ? » Si les paroles pouvaient tuer, alors cet homme serait mort sur le champ. Elle raccrocha le téléphone et se leva d’un bond de sa chaise avant de partir de cette foutue prison. Elle entendit son père frapper dans la vitre, elle se doutait bien aussi qu’il lui criait de revenir et qu’il allait lui apprendre à être bien élevé, mais elle continua d’avancer sans se retourner.
Comme une envie de remettre à l'heure les horloges de ma vie underco.
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