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 Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ?

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S. Valentine Niedziel
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S. Valentine Niedziel
' Let it never be said that romance is dead. '
RUBY - kaiser chiefs

Σ Crédit : mistaken
Σ Avatar : saoirse ronan
Σ Hurleurs : 60
Σ Ici depuis le : 22/07/2012
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Σ Je peux : entendre les prières des gens
Σ Âge : 21 ans
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Just for fun : je préfère la vanille.
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MessageSujet: Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ?   Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ? EmptyLun 30 Juil - 6:45


Rater sa vie est un droit inaliénable.
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Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ? Diaman10
Susie Valentine Niedziel
21 YEARS OLD δ ORIGINAIRE DE ZURICH δ EN LIBERTÉ CONDITIONNELLE δ
Mon casier judiciaire loin d’être vierge parle pour moi. Suspicion de réunion et de meurtre prémédité. Agression d’un agent de la paix. Trouble public. Détention d’arme. Racolage. Outrage à la cours. Suspicion de meurtre sur la personne chargée de tutelle. Agression verbale envers un agent de probation. La liste ne s’arrêtera jamais. C’est comme une liste de course faite à la va-vite et sur laquelle on ne manque jamais de rajouter une chose, puis une autre, puis encore une autre. Fut un temps, j’étais du genre sage, disciplinée et gourde, mais les hormones ont sans doute un peu trop bien fait leur job à l’adolescence si bien que j’ai pris un tournant radical, m’affirmant et n’ayant pas froid aux yeux de ce côté-là. Je suis impulsive et pars toujours du principe que je n’ai rien à perdre quoi qu’il en soit. Je me plais à défier les autres, pour le plaisir d’une compétition qui ne mènera nulle part. Rétive de nature, je n’accorde que très peu ma confiance et préfère tester tout le monde via le sarcasme avant toute approche raisonnable. Malgré ces accès de brutalité voire de vulgarité, je me plais à observer les autres durant les fêtes ou en boîte, avec un léger sourire et un cocktail peu chargé. more

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S. Valentine Niedziel
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MessageSujet: Re: Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ?   Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ? EmptyLun 30 Juil - 6:46

Δ Monsieur, quand le doigt montre le ciel, l’imbécile regarde le doigt.
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Jonas Kutzner
Je suis la belette de personne.



credits : emmigraph
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" Je le fixe aussi. — Veux-tu... un biscuit ? fais-je, plongeant la main dans ma poche.
Il hoche sa petite tête, lentement, en haut, en bas, mais avant qu'il n'ait eu le temps de répondre, une immense vague de fureur balaie ma conscience et, tirant le couteau de ma poche, je le poignarde prestement, au cou.
Ahuri, il recule dans la poubelle, gargouillant comme un nouveau-né, sans pouvoir crier ni pleurer, à cause du sang qui commence à gicler de sa blessure à la gorge. Certes, j'aimerais bien voir mourir cet enfant, mais je le pousse à terre derrière la poubelle, avant de me mêler à la foule, l'air de rien, et touche l'épaule d'une jolie fille, lui désignant en souriant un pingouin qui se prépare à plonger. Dans mon dos, un regard attentif verrait les pieds de l'enfant qui s'agitent derrière la poubelle.

Je surveille d'un œil la mère qui, au bout d'un moment, s'apercevant de l'absence de son fils, commence à scruter la foule autour d'elle. De nouveau, je pose ma main sur l'épaule de la fille qui sourit et hausse les épaules d'un air d'excuse, je ne sais pas pourquoi. Lorsque sa mère l'aperçoit enfin, elle ne crie pas car, ne voyant que ses pieds, elle s'imagine qu'il se cache pour jouer. Elle paraît tout d'abord soulagée de l'avoir retrouvé, et se dirige vers la poubelle en disant : « Tu joues à cache-cache, mon chéri ? » d'une voix attendrie. Mais de là où je me tiens, derrière la jolie fille, dont je viens de m'apercevoir que c'est une étrangère, une touriste, je vois le moment exact où la mère change de visage, effrayée soudain et, balançant son sac à main derrière son épaule, elle écarte la poubelle, découvrant son fils, le visage complètement recouvert de sang, ce pourquoi l'enfant a du mal à cligner des paupières, tandis qu'il se tient la gorge à deux mains, agitant les jambes, mais plus faiblement à présent La mère émet un son — que je ne pourrais pas décrire — un truc aigu, qui finit par un cri. Quelques personnes se retournent tandis qu'elle se jette à terre à côté de son fils, et je m'entends crier,
d'une voix bouleversée ; « Je suis médecin, reculez, je suis médecin ! » et, m'agenouillant aux côtés de la mère, sous les regards intéressés d'un cercle de curieux, je la force à lâcher l'enfant qui gît à présent sur le dos, cherchant en vain à reprendre souffle, le sang jaillissant régulièrement de son cou, formant un arc rouge, faible, qui vient détremper sa chemise Polo. " AMERICAN PSYCHO
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Caesar Ezekiel S. Jones
Vous pensez que ça durera toujours, les gens et les voitures et le béton. Mais non. Un jour, tout aura disparu, même le ciel.

J'ai décidé que je voulais un Lien
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Il hoche sa petite tête, lentement, en haut, en bas, mais avant qu'il n'ait eu le temps de répondre, une immense vague de fureur balaie ma conscience et, tirant le couteau de ma poche, je le poignarde prestement, au cou.
Ahuri, il recule dans la poubelle, gargouillant comme un nouveau-né, sans pouvoir crier ni pleurer, à cause du sang qui commence à gicler de sa blessure à la gorge. Certes, j'aimerais bien voir mourir cet enfant, mais je le pousse à terre derrière la poubelle, avant de me mêler à la foule, l'air de rien, et touche l'épaule d'une jolie fille, lui désignant en souriant un pingouin qui se prépare à plonger. Dans mon dos, un regard attentif verrait les pieds de l'enfant qui s'agitent derrière la poubelle.

Je surveille d'un œil la mère qui, au bout d'un moment, s'apercevant de l'absence de son fils, commence à scruter la foule autour d'elle. De nouveau, je pose ma main sur l'épaule de la fille qui sourit et hausse les épaules d'un air d'excuse, je ne sais pas pourquoi. Lorsque sa mère l'aperçoit enfin, elle ne crie pas car, ne voyant que ses pieds, elle s'imagine qu'il se cache pour jouer. Elle paraît tout d'abord soulagée de l'avoir retrouvé, et se dirige vers la poubelle en disant : « Tu joues à cache-cache, mon chéri ? » d'une voix attendrie. Mais de là où je me tiens, derrière la jolie fille, dont je viens de m'apercevoir que c'est une étrangère, une touriste, je vois le moment exact où la mère change de visage, effrayée soudain et, balançant son sac à main derrière son épaule, elle écarte la poubelle, découvrant son fils, le visage complètement recouvert de sang, ce pourquoi l'enfant a du mal à cligner des paupières, tandis qu'il se tient la gorge à deux mains, agitant les jambes, mais plus faiblement à présent La mère émet un son — que je ne pourrais pas décrire — un truc aigu, qui finit par un cri. Quelques personnes se retournent tandis qu'elle se jette à terre à côté de son fils, et je m'entends crier,
d'une voix bouleversée ; « Je suis médecin, reculez, je suis médecin ! » et, m'agenouillant aux côtés de la mère, sous les regards intéressés d'un cercle de curieux, je la force à lâcher l'enfant qui gît à présent sur le dos, cherchant en vain à reprendre souffle, le sang jaillissant régulièrement de son cou, formant un arc rouge, faible, qui vient détremper sa chemise Polo. " AMERICAN PSYCHO
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Ahuri, il recule dans la poubelle, gargouillant comme un nouveau-né, sans pouvoir crier ni pleurer, à cause du sang qui commence à gicler de sa blessure à la gorge. Certes, j'aimerais bien voir mourir cet enfant, mais je le pousse à terre derrière la poubelle, avant de me mêler à la foule, l'air de rien, et touche l'épaule d'une jolie fille, lui désignant en souriant un pingouin qui se prépare à plonger. Dans mon dos, un regard attentif verrait les pieds de l'enfant qui s'agitent derrière la poubelle.

Je surveille d'un œil la mère qui, au bout d'un moment, s'apercevant de l'absence de son fils, commence à scruter la foule autour d'elle. De nouveau, je pose ma main sur l'épaule de la fille qui sourit et hausse les épaules d'un air d'excuse, je ne sais pas pourquoi. Lorsque sa mère l'aperçoit enfin, elle ne crie pas car, ne voyant que ses pieds, elle s'imagine qu'il se cache pour jouer. Elle paraît tout d'abord soulagée de l'avoir retrouvé, et se dirige vers la poubelle en disant : « Tu joues à cache-cache, mon chéri ? » d'une voix attendrie. Mais de là où je me tiens, derrière la jolie fille, dont je viens de m'apercevoir que c'est une étrangère, une touriste, je vois le moment exact où la mère change de visage, effrayée soudain et, balançant son sac à main derrière son épaule, elle écarte la poubelle, découvrant son fils, le visage complètement recouvert de sang, ce pourquoi l'enfant a du mal à cligner des paupières, tandis qu'il se tient la gorge à deux mains, agitant les jambes, mais plus faiblement à présent La mère émet un son — que je ne pourrais pas décrire — un truc aigu, qui finit par un cri. Quelques personnes se retournent tandis qu'elle se jette à terre à côté de son fils, et je m'entends crier,
d'une voix bouleversée ; « Je suis médecin, reculez, je suis médecin ! » et, m'agenouillant aux côtés de la mère, sous les regards intéressés d'un cercle de curieux, je la force à lâcher l'enfant qui gît à présent sur le dos, cherchant en vain à reprendre souffle, le sang jaillissant régulièrement de son cou, formant un arc rouge, faible, qui vient détremper sa chemise Polo. " AMERICAN PSYCHO
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Δ Y a eu un cours en SVT là dessus, où comment la grossesse conduit souvent à avoir un enfant...
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Je surveille d'un œil la mère qui, au bout d'un moment, s'apercevant de l'absence de son fils, commence à scruter la foule autour d'elle. De nouveau, je pose ma main sur l'épaule de la fille qui sourit et hausse les épaules d'un air d'excuse, je ne sais pas pourquoi. Lorsque sa mère l'aperçoit enfin, elle ne crie pas car, ne voyant que ses pieds, elle s'imagine qu'il se cache pour jouer. Elle paraît tout d'abord soulagée de l'avoir retrouvé, et se dirige vers la poubelle en disant : « Tu joues à cache-cache, mon chéri ? » d'une voix attendrie. Mais de là où je me tiens, derrière la jolie fille, dont je viens de m'apercevoir que c'est une étrangère, une touriste, je vois le moment exact où la mère change de visage, effrayée soudain et, balançant son sac à main derrière son épaule, elle écarte la poubelle, découvrant son fils, le visage complètement recouvert de sang, ce pourquoi l'enfant a du mal à cligner des paupières, tandis qu'il se tient la gorge à deux mains, agitant les jambes, mais plus faiblement à présent La mère émet un son — que je ne pourrais pas décrire — un truc aigu, qui finit par un cri. Quelques personnes se retournent tandis qu'elle se jette à terre à côté de son fils, et je m'entends crier,
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MessageSujet: Re: Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ?   Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ? EmptyMer 15 Aoû - 11:11

Moi je veux un lien :D
Jme suis dis que peut être Noah aurait pu la croisé lors d'un de ses délit, il aurait tout vu, et depuis il reste fasciné par cette fille qui semble etre une ange mais qui enfait non. Il ne ferait que de la regarder et touuut, genre elle pourrait commencer à flipper à sa rencontre ou au contraire se rapprocher de lui, c'est à toi de voir ^^
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MessageSujet: Re: Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ?   Si quelque chose qu’on avait sans le savoir disparait, est ce que ce quelque chose nous manque ? Empty

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